Publié le 8 juillet 2020
Vous ne pouvez pas le voir, mais il sont bien là ! Ils sont associés à la propagation des virus comme la COVID-19. Comment lutter contre les aérosols et la COVID-19 ? Récemment, de plus en plus d’études et d’experts ont conclu qu’il s’agit d’une source de contamination. Il est temps de passer de la cause à effet à une solution pour minimiser cet ennemi public invisible !
Un aérosol est un mélange colloïdal de toutes sortes de particules solides, liquides et gazeuses. Leur taille est de 0,12 à 200 micromètres. Les exemples d’aérosols sont très divers. On distingue la suie des voitures, la fumée, les gouttelettes microscopiques d’eau provenant de la respiration. Les aérosols sont des porteurs de germes éprouvés. Cette analyse a déjà été démontrée en 1930 par le chercheur de Harvard, William Wells.
De nombreuses études ont maintenant étudié la propagation des aérosols et la COVID-19. ECDC déclare qu’il existe des preuves suffisantes de la transmission du virus. La transmission s’effectue par les aérosols lorsque de nombreuses personnes sont réunies dans une même pièce : « Sur 318 cas de COVID-19 examinées, un seul était à l’extérieur ». C’est ce que souligne le professeur TU Delft de l’environnement intérieur, Philo Bluyssen : « La concentration de virus s’accumule et finira par se retrouver dans les poumons de quelqu’un. » Professeur de physique du bâtiment à l’Université d’Eindhoven, Bert Blocken demande une bonne filtration de l’air : « Cela concerne l’accumulation d’aérosols dans une pièce. À un moment donné, une certaine concentration est atteinte et une contamination de masse pourrait éventuellement avoir lieu ».
Le virologiste Christian Drosten et le chercheur Maurice de Hond ont déjà souligné le rôle des aérosols avec la propagation du virus COVID-19 il y a plus de 3 mois. Le virologue néerlandais Ab Osterhaus estime que la politique gouvernementale doit être davantage mise en place concernant la COVID-19. Detlef Lohse, professeur de physique des liquides à l’Université de Twente, souligne les nombreuses études qui montrent jusqu’où les aérosols peuvent transmettre le virus.
Dans une lettre ouverte avec preuve adressée à l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) qui date du 5 juillet 2020, pas moins de 239 chercheurs, scientifiques et experts de 32 pays déclarent que la transmission du virus se fait par les aérosols. Une preuve suffisante pour prouvé que le gouvernement doit l’intégrer dans sa politique gouvernementale. Le professeur Donald Milton de l’Université du Maryland, co-auteur de la lettre, souligne qu’une personne moyenne consomme 10 000 litres d’air par jour. « Vous n’avez besoin que d’une seule dose infectieuse du virus COVID-19 dans 10 000 litres. »
En réponse, les responsables de l’OMS ont maintenant reconnu que le virus peut être transmis par les aérosols. L’organisation néerlandaise de la santé RIVM a mené une étude modèle sur les aérosols. Elle a reconnu officiellement le 7 juillet 2020 que « l’exposition au virus par les aérosols est possible ». Erwin Duizer, virologue du RIVM et l’un des auteurs de l’étude modèle, a déclaré au journal NRC que le résultat de l’étude est conforme à ce que l’on observe dans la pratique.
Les aérosols peuvent être minimisés par le nettoyage à l’air de France Euromate. Cet effet a été confirmé par les instituts de recherche indépendant VTT en Finlande et la conclusion de TNO Pays-Bas. Le VisionAir Blue Line MicrobeFree Global est un purificateur d’air efficace équipé d’un filtre HEPA 14 de haute qualité. En combinaison avec le filtre Silver Ion et les lampes SterilAir UV-C, ils minimisent ensemble tous les types de germes flottant dans l’air. Les directives actuelles concernant la qualité de l’air intérieur sont inférieures aux normes et insuffisantes dans la lutte contre la COVID-19. La purification de l’air est devenue indispensable !